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Biographie de l'auteur :
Né en Algérie en 1958, Vincent Colonna grandit à Alger, jusqu’à l’âge de vingt ans avant de venir étudier en France. Des études de philo puis l’écriture d’une thèse novatrice sur l’autofiction sous la direction de Gérard Genette à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Le romancier n’en tire cependant absolument aucune gloire. Cette indication sur son cursus de bon élève ne fait que souligner le fait qu’il est un être de langage, viscéralement aspiré par la dimension du discours sous toutes ses formes. Un moment intéressé par une carrière scientifique, il prend cependant ses distances avec l’Université pour une bonne raison: «J’avais dans la tête de basculer dans la fiction.» Pourtant Vincent Colonna prend son temps et diffère le moment du passage à l’écriture romanesque pour aller se balader en Afrique de l’Est où il vivra deux ans, au Kenya précisément. Puis, de retour dans l’Hexagone, il se met à exploiter ce qu’il maîtrise le mieux, l’analyse du discours et des images, pour se lancer dans un job de baroudeur intellectuel grâce à une petite annonce découverte dans Le Monde: sémiologue free-lance, métier qu’il continue de pratiquer pour le compte de son cabinet d’études, «Protagoras» «L’image qu’on a de Protagoras à travers Platon est une image très fausse. Il y a un très beau portrait de lui écrit par Jean-François Lyotard, qui l’oppose à Socrate. Il en fait une figure non héroïque de la philosophie, une figure plus proche des problèmes quotidiens, et qui n’essaie pas de déifier le philosophe. Et puis les sophistes étaient des gens qui s’intéressaient beaucoup aux phénomènes d’énonciation, à la rhétorique, aux affects, à l’imaginaire, à l’image, etc. Donc la sémiotique n’est pas très loin!» Aujourd’hui, il travaille essentiellement pour l’audiovisuel. Par exemple pour la télévision publique, à laquelle il s’agit de dire si certains de ses programmes sont «publics» ou pas. Et aussi pour la radio, comme RFI, en qualité de consultant culturel sur l’Afrique.
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