Livre
AMRANI, Djamel KHELLAS, Djilali (Préface)Le dernier chant du rossignol
Depuis que les « paras de Bigeard l'ont torturé en 1957 et 1958, Djamal Amrani n'a cessé de chanter la liberté ». Liberté de l'Algérie, liberté de ses hommes et de ses femmes. Surtout « ses femmes ». En effet, Djamal Amrani avait concentré sa poésie depuis 1962, sur la condition féminine, et l'éloge du corps. Les écrits de presse réunis dans ce livre montrent surtout « la grande culture » de notre défunt poète. |