Le retour au silence - Livres - Limag
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Livre

ACHOUR, Mouloud
Le retour au silence


 
Lieu : Algérie
Éditeur : Casbah
Année : 2011
ISBN : 978-9961647066
Pages : 205 p.
Type : Nouvelles et textes courts
Collection, autres éditions : ,
Notations :

[...]La langue à laquelle ont donné naissance ces histoires ainsi que la dérision constante et proche d'une écriture de l'absurde qui en ressort, est tel un miroir des temps et les exprime avec une telle justesse qu'elle m'a replongée fréquemment dans la froide violence d'Edgar Allan Poe et de ses nouvelles extraordinaires. Elle en a la saveur et parfois la cruauté. »



Neuf nouvelles composent ce recueil signé de la plume du journaliste, nouvelliste et romancier Mouloud Achour.
Paru dans sa première mouture en 1996 aux éditions l’Harmattan, sous le titre A perte de mots, cet ouvrage s’offre une seconde jeunesse avec un nouveau titre Le retour au silence en s’enrichissant au passage d’un récit inédit, Je sais faire chanter le cristal.


Dans la première nouvelle en deux parties intitulée Si mon père revenait, Mouloud Achour met en scène le personnage de Bachir. Un intellectuel à cheval sur les principes. Père de famille honnête, loyal et intègre, ce quinquagénaire mène une vie simple et modeste. Un jour, il est invité à une soirée donnée par Si Mounir, un business man dont le fortune n’a d’égale que les fausses attestations de sa prétendue participation à la guerre de Libération nationale. L’homme d’affaires lui fait une drôle de proposition. Il lui offrira une vie de château à condition qu’il accepte de rédiger ses mémoires basés sur ses faux exploits de guerre. Mais Bachir n’est pas de la race des corrompus...


Le dernier printemps raconte les derniers jours d’un malade atteint d’un mal incurable. Cloué sur son lit d’hôpital, le mourant espère la visite de sa bien-aimée Radia...


Dans Jamais dans la lumière, le lecteur découvre «Zine», un personnage intrigant. Jadis ouvert, jovial et sociable, ce jeune homme devient taciturne et sombre du jour au lendemain. Muet comme une tombe, il ne tarde pas à en faire sa dernière demeure...